Une fin à ce bonheur ressenti,
A cette joie enflant mon cœur lorsque ton image m'apparaissait,
A ces moments qui nous appartenaient,
Ne laissant qu'un vide qu'un désespoir emplit.
Perdant toute envie d'être heureux,
Ne voulant trouver ne serait-ce que Morphée,
Attendant simplement que la nuit laisse place à la journée,
Et inversement, ne regardant que les nuances de bleu.
Je ne verrais plus cette douceur empreinte de tristesse,
Car tu savais que c'était terminé,
Car tu savais que je me brisais
Et que je sortais de ce rêve, cette liesse.
vendredi 31 octobre 2014
mercredi 29 octobre 2014
Vide d'automne
Un froid qui m'enlace tendrement,
Telle une amante, une fois l'étreinte finie,
Me donnant l'envie de m'y perdre, m'embrassant,
Me promettant de ne plus jamais me laisser ici.
Et je m'endors, rêvant tout bas
Que ce monde que tu me dépeins soit réel,
Que cette vie ne serait constituée que de merveilles,
Qu'enfin, je puisse toucher cette félicité du bout des doigts.
Et l'on me réveille, ne me laissant dans mes pensées,
M'obligeant à rester dans cette réalité,
Où la chaleur mordante étouffe mes sens et brûlent mes désirs,
Où sans toi, il m'est impossible de sourire.
Telle une amante, une fois l'étreinte finie,
Me donnant l'envie de m'y perdre, m'embrassant,
Me promettant de ne plus jamais me laisser ici.
Et je m'endors, rêvant tout bas
Que ce monde que tu me dépeins soit réel,
Que cette vie ne serait constituée que de merveilles,
Qu'enfin, je puisse toucher cette félicité du bout des doigts.
Et l'on me réveille, ne me laissant dans mes pensées,
M'obligeant à rester dans cette réalité,
Où la chaleur mordante étouffe mes sens et brûlent mes désirs,
Où sans toi, il m'est impossible de sourire.
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