mercredi 9 novembre 2005

Vie de la mort

Une larme coule sur ma joue,
Doucement s'écoule et meurt sur mon doigt,
Tendresse inavouée et qui a forcément un coût
Que je paye doucement en moi.

Mon âme meurt lentement de ces chimères cachées
Au tréfond de celle-ci seule la mort subsiste
Et malgré tout ce qui se passe j'existe
Ne serais-je qu'un prémice de cette mort crevée?

Doucement cette douleur de mon âme
Se transforme et coule sur ma peau
En douce et sanguines larmes
Qui parcourent tranquillement mes lambeaux

2 commentaires :

Anonyme a dit…

La mort adore son métatron !! Lionel jtdr tou simplement et voila bisou

Anonyme a dit…

on dirait presque le sharingan :p