Doucement s'écoule et meurt sur mon doigt,
Tendresse inavouée et qui a forcément un coût
Que je paye doucement en moi.
Mon âme meurt lentement de ces chimères cachées
Au tréfond de celle-ci seule la mort subsiste
Et malgré tout ce qui se passe j'existe
Ne serais-je qu'un prémice de cette mort crevée?
Doucement cette douleur de mon âme
Se transforme et coule sur ma peau
En douce et sanguines larmes
Qui parcourent tranquillement mes lambeaux

2 commentaires :
La mort adore son métatron !! Lionel jtdr tou simplement et voila bisou
on dirait presque le sharingan :p
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