En un flux doux et régulier,
Observant des images de mon passé,
Histoires diurnes et nocturnes te mettant en émoi.
Tes paroles et pensées devenant transparentes,
Mon souvenir étant celui qui te hante,
Ma vision se troublant à ton égard,
Tout ton être semble devenir épars.
Et tendrement, tu me plonges dans un monde sans rêves,
Un endroit me permettant de faire une trêve,
Sombre place, dénué de décors,
Où je ferme les yeux et m'endors.
