vendredi 13 mars 2009

Cache-Cache

Cassé, brisé, jusque dans ma psychée,
Je ne sais où pouvoir me réfugier,
Trouver une place qui me donnerait enfin
Ce que je cherche, et ce qui me retient.

L'eau coulant sur mon visage m'empêchant de te voir,
Le paysage t'entourant d'une noirceur sans pareille,
Et pourtant, tel un ange tu me veilles,
En laissant dans ton sillage une nuée d'espoir.

Enfin, tu me laisses t'approcher,
Me prend la main, venant me guider,
Et d'aise me fait soupirer,
Pour la dernière fois, toi mon aimée.

1 commentaire :

Anonyme a dit…

Ca fait longtemps que je n'avais pas lu un poème, et c'est un véritable plaisir que de découvrir ces quelques vers.
J'aime beaucoup le style !