Dont chacun représente une moitié,
De mon être s'effritant tandis que j'avance,
Sans tenir compte de la douleur qui m'élance.
Les sorties sont légions et mènent toutes
Hors de cette pièce vers une lumière céleste
M'étant inaccessible du fait que je doute
Encore de la réalité de mes gestes.
Fatalement se referment ces portes
L'enchantement se finit tendrement
Mes miroitements s'avancent et supportent
Pour moi cette souffrance me transperçant.
